Ode à l’aisselle II

Aisselle, j’aime fort ton odorant jardin.
Est-ce elle, soyeuse, qu’ils veulent épiler ?
Essaie le lieu plutôt nature : c’est douillet !
Et, scelle, par ton plaisir, l’excessif refrain :

Hais celles qui rasent leurs aisselles !

Poème rédigé par David Dadoun, 2007

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