- Paroles
Jeune et jolie
fillette tu grandis
Mais tu restes si naïve
Et les vertus diaboliques
de ton corps bourgeonnent
un tas de yeux inconnus (18s)
viendront un jour venu
répandre la panique
en quelques mois
Voilà que tu n'es déjà plus toi
Te voilà devenue ventrue, fessue, joufflue
Sache quoi qu'il en soit
Tu n'as pas le choix
L'horreur est advenue,
Oui, l'horreur absolue
Non seulement
Tu es absolument poilue
Oui ta toison à toi
Est on ne peut plus noire
Descendre dans
La rue, ce temps
est révolu
C'est bien trop touffu
Personne ne doit savoir
Toi qui sortais tes jolis mollets moulés nus
En faisant saliver de beaux mâles
Le soir
Tu as certes représenté l'espoir déçu
A leurs yeux
Tu n'es plus qu'une bête de foire
Mais heureusement
Pour toi tout
N'est pas pas perdu
Car si tu veux mettre
Fin à ton désespoir
La société qui veut ton bien
A tout prévu
Du poil superflu
disparu, qui peut le croire ?
Dans le sens de la pousse du poil
C'est avec plaisir que la cire s'étale
Tirer lentement risque de faire mal
Mais d'un seul coup sec, là c'est l'idéal
De l'autre côté de la porte de la salle de bains
Monsieur entend s'échapper un râle De douleur mais madame le ravale (2m33)
C'est la vie c'est comme ça, c'est normal, mal mal mal
C'est notre devoir en tant que femelles
Le maillot les jambes et les aisselles
Pour garder notre corps de pucelle
Faut savoir souffrir pour être belle belle belle
On peut se raser, ça
C'est très facile
Mais t'es plus tranquille si tu t'épiles
Tu seras encore plus féminine
Si Tu arraches tout jusqu'à la racine
Quelques hématomes, rougeurs et brûlures
Peuvent apparaître
Mais c'est pas de la torture
Simple, rapide et efficace
L'éradication indolore
En masse (3m20)
du pire ennemi de l'esthétique
En plus, il paraît que c'est pas hygiénique
fillette tu grandis
Mais tu restes si naïve
Et les vertus diaboliques
de ton corps bourgeonnent
un tas de yeux inconnus (18s)
viendront un jour venu
répandre la panique
en quelques mois
Voilà que tu n'es déjà plus toi
Te voilà devenue ventrue, fessue, joufflue
Sache quoi qu'il en soit
Tu n'as pas le choix
L'horreur est advenue,
Oui, l'horreur absolue
Non seulement
Tu es absolument poilue
Oui ta toison à toi
Est on ne peut plus noire
Descendre dans
La rue, ce temps
est révolu
C'est bien trop touffu
Personne ne doit savoir
Toi qui sortais tes jolis mollets moulés nus
En faisant saliver de beaux mâles
Le soir
Tu as certes représenté l'espoir déçu
A leurs yeux
Tu n'es plus qu'une bête de foire
Mais heureusement
Pour toi tout
N'est pas pas perdu
Car si tu veux mettre
Fin à ton désespoir
La société qui veut ton bien
A tout prévu
Du poil superflu
disparu, qui peut le croire ?
Dans le sens de la pousse du poil
C'est avec plaisir que la cire s'étale
Tirer lentement risque de faire mal
Mais d'un seul coup sec, là c'est l'idéal
De l'autre côté de la porte de la salle de bains
Monsieur entend s'échapper un râle De douleur mais madame le ravale (2m33)
C'est la vie c'est comme ça, c'est normal, mal mal mal
C'est notre devoir en tant que femelles
Le maillot les jambes et les aisselles
Pour garder notre corps de pucelle
Faut savoir souffrir pour être belle belle belle
On peut se raser, ça
C'est très facile
Mais t'es plus tranquille si tu t'épiles
Tu seras encore plus féminine
Si Tu arraches tout jusqu'à la racine
Quelques hématomes, rougeurs et brûlures
Peuvent apparaître
Mais c'est pas de la torture
Simple, rapide et efficace
L'éradication indolore
En masse (3m20)
du pire ennemi de l'esthétique
En plus, il paraît que c'est pas hygiénique
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